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Garoo


24 déc. 2002

Family Man

On a finalement échappé au navet que je craignais. Bon, il faut supporter pendant deux heures (et elles sont longues, quand même, il y a de l’abus) l’idée que Téa Leoni soit l’âme soeur de Nicolas Cage plutôt que la mienne (quoique, ça devrait plutôt être encourageant pour moi, quand on y pense) ou, au moins, celle de Mulder. Il faut aussi, et surtout, endurer le manque de subtilité du scénario ou, plus précisément, des dialogues. Mais la partie romantique fonctionne tout de même (grâce à Téa Leoni, forcément — je suis sûr qu’on pourrait faire pleurer sur une romance entre elle et une crotte de nez) et, par miracle, le happy end évite vaguement de conclure sur Oh, l’argent, c’est nul, on est beaucoup plus heureux paumé dans une banlieue résidentielle. Vaguement. Disons qu’on peut choisir de ne pas comprendre la fin de cette façon, ce qui est déjà mieux que rien. Quelque chose dans l’histoire me donne l’impression que le scénario d’origine devait être beaucoup plus light côté démagogie, et que quelqu’un sur la chaîne de production s’est senti obligé d’en rajouter. Forcément, il y a plus de spectateurs qui vivent dans une maison de banlieue que dans Manhattan.

Au moins, le miracle de Noël de Family Man, aujourd’hui, compense Seul au monde, hier, ou Tom Hanks disparaissait dans le Triangle des Bermudes juste après (ou avant, je ne sais plus) le réveillon.

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