American Gods, de Neil Gaiman (pas pu m’empêcher d’écrire “godes”) : la fin est plus maline que celle de Good Omens, mais les 47852 pages qui y mènent sont… laborieuses, non ? Le strict minimum pour pousser le lecteur à avancer, chapitre après chapitre d’exposition indigeste. Si c’est représentatif de son style…
Vous voulez savoir quand je poste du contenu sur mon blog ? Il suffit de vous inscrire gratuitement à un agrégateur RSS (Feedly, NewsBlur, Inoreader, …) et d'ajouter www.garoo.net à vos flux (ou www.garoo.net pour vous abonner à tous les sujets). On n'a pas besoin de newsletters, pas besoin de Twitter, le RSS existe toujours.
Fzael, il y a 7 ans :
Entièrement d'accord avec Yom, Neverwhere est parfait: moi j'ai découvert Gaiman avec celui là, et j'ai de suite accroché.
K, il y a 7 ans :
L'idée de départ était excellente, mais le bouquin m'est tombé des mains au bout de cent pages...
Mentions légales : ce blog est hébergé par OVH, 2 rue Kellermann, 59100 Roubaix, France, www.ovhcloud.com.
Les données des visiteurs de ce blog ne sont pas utilisées ni transmises à des tiers. Les posteurs de commentaires peuvent demander leur suppression par e-mail.
Tous contenus © de l'auteur ou couverts par le droit de citation.
yom, il y a 7 ans :