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Garoo


2 fév. 2003

Buffy (6.09—6.10)

Eh bien… on commence par le bon, ou le mauvais ?

Allez, on va commencer par le bon : Whoa. Whoa whoa whoa. This is the first episode featuring raunchy sex; all previous sexual encounters [were] depicted as passionate, tender experiences (in tvtome.com). En effet. Et, même s’ils étaient entièrement habillés (en tout cas au moment où ils faisaient l’am… enfin, où ils baisaient) je trouve que c’est aussi la scène de sexe la plus graphique de la série. Whoa. Juste au moment où je me disais que ça devenait lourd, deux fois de suite un épisode qui se terminait par un baiser que Buffy niait dans l’épisode suivant, ils trouvent une nouvelle variante. Whoa. Ca, c’est une scène d’amour. Un immeuble qui s’écroule. Je suis sûr d’avoir déjà vu ça quelque part, mais je crois qu’on peut difficilement faire mieux. (A moins que ce soit juste que j’aurais entendu parler de cette scène ? Non, je crois vraiment avoir déjà vu quelque chose de similaire.)

Pour ce qui est de mettre Marsters à poil pendant tout l’épisode suivant, en revanche, ils auraient peut-être pu éviter. D’abord parce qu’à ce point c’est franchement glauque ; ensuite, parce qu’en multipliant les cadrages et les mouvements élaborés pour éviter de montrer Spike en-dessous de la ceinture, on passe son temps à rappeler aux spectateurs qu’ils sont devant leur télé, ce qui n’est pas poli. Et puis, des hommes nus, j’en vois tous les jours sur mon écran ; je n’ai pas spécialement besoin que Spike fasse partie du lot. C’est glauque. Vraiment. (Et puis il est trop pâle.)

Et maintenant, le négatif. Au début du deuxième épisode, j’étais en train d’écrire dans mes notes que ça pourrait / aurait pu être jouable, une histoire de Willow accro à la magie, si on écrivait ça avec plein de subtilité tout partout ; mais que la subtilité était justement ce qui faisait le plus défaut à cette saison (à part les deux épisodes de la semaine dernière, à forte teneur en Whedon) et que c’était donc loin d’être gagné. Et, juste alors que j’écris ça, entre… un dealer de magie. Subtilité. Un driving under influence. Subtilité. Une crise de manque. Subtilité. Bon sang. Un dealer de magie et des blagues visuelles sur le fait que Marsters soit à poil. C’est pathétique…

J’ai hâte que Whedon arrête toutes ses séries et se lance à plein temps dans le cinéma. Là, au moins, il aura le temps de s’occuper de tout, et de faire quelque chose de parfait de bout en bout. Parce que c’est assez usant de devoir supporter tout le remplissage de ses tâcherons (qui étaient pourtant bien plus inspirés, ces tâcherons, sur les saisons précédentes) pour profiter des quelques perles de Whedon. C’est dur. Pensez à nous, merde. Arrêtez Buffy.

Hi…how have you been?

Rat. You?

Dead.

Oh.

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